17 Jan bagdad capitale des abbassides
In one account, reported in several versions by al-Ṭabarī and al-Ḫaṭīb al-Bagdādī, a Byzantine ambassador arrives at al-Manṣūr’s court and criticizes the caliph’s new capital. En 1507, les « têtes rouges » de Shah Ismaïl (premier souverain des Safavides et, pour ses partisans, manifestation véridique de la divinité) s'emparaient de Bagdad : les mausolées des grandes figures du sunnisme furent détruits ; celui de Musa al-Qasim et de Muhammad al-Taqi (les deux Qasim), respectivement le septième et le neuvième imam des chiites, agrandi. Les Abbassides rallient également les musulmans non-arabes qui sont écartés des postes importants de l'administration que les Omeyyades ont tendance à réserver aux Arabes. Votre équipe doit présenter aux autres élèves de la classe, la ville de Bagdad. Entre ces deux époques, entre la cité siège du califat universel et la capitale irakienne du XXe siècle, Bagdad est devenue une ville de province, rarement maîtresse de sa propre destinée. Les divagations annuelles du fleuve ont entraîné également dans la longue durée un déplacement progressif du site urbain, de l'amont vers l'aval, du nord-ouest vers le sud-est, qui rend pratiquement vaine toute reconstitution de sa topographie historique. Et c'est dans ce palais agrandi par Al-Mamun que se réinstalla le calife en 892. Le Califat abbasside1 (arabe : الخلافة العباسية / al-ḵilāfa al-ʿabbāsiyya) est un califat sunnite qui gouverne le monde musulman de 750 à 1258. Après la destruction de Bagdad par les Mongols en 1258, certains Abbassides parviennent à s’enfuir au Caire où ils sont accueillis et protégés par les Mamelouks jusqu’en 1517, date à … Les Abbassides déplacé la capitale de l'empire vers l'est pour une nouvelle ville, à Bagdad, où ils fondèrent sur le fleuve Tigre. Cependant, le formidable développement de Bagdad, la coalescence croissante des différents quartiers rendirent bientôt vain ce geste fondateur. Lieu d'enseignement du droit musulman sunnite et de ses sciences auxiliaires (l'exégèse coranique, l'étude de la tradition prophétique), offrant aux maîtres la position et le revenu d'une chaire d'enseignement, aux étudiants un gîte et une pension, au fondateur qui lui donne son nom la renommée en ce monde et l'espérance du salut dans l'autre. Après plus de trois ans de guerre, le général abbasside Abû Muslim triomphe des Omeyyades en 750 à la bataille du Grand Zab. Si la ville ne fut pas détruite - Hülegü donnant même instruction d'y reconstruire certains édifices -, la conquête mongole précipita un déclin démographique entamé sans doute dès le XIe siècle. L'époque seldjoukide (1055-1194) vit en revanche l'essor, dans la capitale irakienne, d'une institution promise à un bel avenir à mesure que le sunnisme revenait en force : la madrasa, lieu d'enseignement du droit et de ses sciences auxiliaires (l'exégèse coranique, l'étude de la tradition prophétique), offrant aux maîtres la position et le revenu d'une chaire d'enseignement, aux étudiants un gîte et une pension. De l'histoire millénaire de Bagdad, on ne retient bien souvent que le geste fondateur : la création de la Ville ronde par le calife Al-Mansur en 762 sur la rive ouest du Tigre. Ce legs tardif des Abbassides à la capitale irakienne survécut paradoxalement à la vague qui allait emporter le califat. [...] Puis celui des traiteurs, celui des boulangers, celui des bouchers, celui des orfèvres, sans égal pour la beauté de son architecture : de hauts bâtiments avec des poutres de teck, supportant des pièces en encorbellement. Ce documentaire retrace son passé glorieux dans les années 1000, du temps où la capitale des Abbassides, était le Centre du Monde. Bagdad : fondée en 762 par le calife al-Mansur, la capitale de l’empire musulman compte un million d’habitants au IXesiècle. Il est cependant très difficile d'évaluer ce que fut la population de Bagdad à son apogée du Xe siècle, comme au temps de son déclin. L'affaiblissement du califat, proportionnel à son retranchement dans le dédale de ses palais, ouvrit progressivement un nouvel espace politique, celui du pouvoir de facto dont se saisirent un peu partout dans l'empire gouverneurs locaux et grandes familles bannies loin de l'Irak. Première monnaie émise dans la nouvelle capitale instaurée par les Abbassides : Madinat al-Salam (Cité de la Paix) (aujourd’hui Bagdad) en 146 de l’Hégire. Un demi-siècle après sa construction, la Ville ronde ne devait jamais se relever de ses ruines, lesquelles servirent longtemps de carrière de matériaux - comme ses portes de fer réemployées dans un nouveau palais deux siècles après sa construction. Mais, au début du XVIe siècle, les rivalités entre Turcomans laissèrent place à l'affrontement de deux empires ascendants, l'Ottoman et le Safavide, de part et d'autre d'une frontière qui recoupait peu ou prou la vieille distinction que la géographie classique opérait entre l'Irak arabe et l'Irak persan. Ces derniers regroupent autour d'eux les Médinois (la ville du Prophète) qui sont mécontents d'avoir perdu de l'importance depuis que la capitale de l'empire arabe a été transférée à Damas en Syrie. Les abbassides décident de fonder une nouvelle capitale pour remplacer l'ancienne capitale Omeyyade, Damas. Entré dans Bagdad, Soliman fit aussitôt rechercher l'emplacement de la tombe d'Abu Hanifa, grand docteur de la loi (mort en 767) et fondateur de l'une des quatre écoles de l'islam sunnite (le hanafisme) à laquelle adhéraient les Ottomans. Celui qui dirige la prière de la communauté, l'une des prérogatives du calife, souvent désigné par ce terme, et qu'il délègue dans chaque ville de l'empire. L'histoire des saintes tombes de Bagdad - celles des grands docteurs du sunnisme, celles aussi des imams chiites (les deux Qasim), plus d'une fois détruites et reconstruites - ne dit pas seulement l'ancienneté du conflit confessionnel dans la capitale irakienne. En el califat abbàssida se succeïren trenta-set sobirans que regnaren cinc segles justos. S'il ne reste plus aujourd'hui à Bagdad que quelques très rares vestiges de son riche passé, dont aucun ne remonte plus haut que la première moitié du XIIIe siècle, c'est aussi que, comme ailleurs au Proche-Orient, les mesures d'urbanisme prises à l'heure de la modernisation des villes ont leur part de responsabilité. Parmi eux, les émirs bouyides, venus d'Iran au milieu du Xe siècle, marquèrent Bagdad de leur empreinte. Le sultan détient la réalité du pouvoir politique et militaire, que lui délègue officiellement le calife abbasside. Voulue par le vizir Nizam al-Mulk, elle prenait modèle sur les premières madrasas fondées en Iran oriental dès le Xe siècle et avait son équivalent dans d'autres villes de l'empire. C'est au cours de cette brève période de domination persane que fut construit l'un des derniers édifices majeurs de la Bagdad prémoderne : le sérail (saray en persan) ou palais du gouverneur, où se succédèrent les pachas nommés par la Sublime Porte, jusqu'à la Première Guerre mondiale et l'entrée des Britanniques dans Bagdad. ). Si son fils Al-Amin regagna le palais de la Porte d'or au centre de la Ville ronde, la guerre qui solda son bref règne en 813 gagna la capitale et ravagea la cité d'Al-Mansur. Sa fondation dans la capitale marquait le soutien apporté par le pouvoir à l'école chafiite, la seule des quatre écoles de droit sunnite à y être enseignée. Pour les chiites duodécimains (les plus nombreux), la lignée s'est interrompue au douzième imam. Les premières madrasas ont été créées en Orient au Xe siècle. Faut-il accorder davantage de crédit au pèlerin juif Benjamin de Tudèle, qui visita la ville vers 1171 et y dénombra 40 000 coreligionnaires ? Les rares données chiffrées transmises par les auteurs de l'époque sont le plus souvent fabuleuses. Comme avant elle les grandes cités de Mésopotamie, de Mari à Babylone ou à Ctésiphon, la ville de Bagdad avait été édifiée en briques crues et en briques cuites, matériaux exposés aux dégâts irréparables de l'eau. Cependant, vu d’Occident, l’âge d’or de la domination musulmane n’a pas toujours été perçu positivement. La bureaucratie persane a lentement remplacé la vieille aristocratie arabe, tandis que les Abbassides établissaient les nouveaux postes de vizir et d’émir pour déléguer leur autorité centrale. Littéralement, le « pouvoir », attribut divin. La dichotomie entre le pouvoir légal du calife et le pouvoir réel du sultan, qui devait jouer un si grand rôle dans la culture politique islamique, se donnait à voir à Bagdad dans la dissociation spatiale des lieux du pouvoir, la Dar al-Khilafa à l'abri de ses murs, la Dar al-Saltana plus au nord en plein coeur de la ville. En 1869 fut ainsi démantelée l'enceinte de briques crues, édifiée à la fin du XIe siècle autour des quartiers de la rive est du Tigre, dont la cité n'occupait plus que les deux tiers de la surface enclose. Forts de cette parenté, ils parviennent à exploiter le mécontentement des populations à l'égard des Omeyyadespour s'emparer du pouvoir en 750. L'ancienne capitale des Abbassides, dont les sultans d'Istanbul allaient bientôt reprendre officiellement à leur compte la dignité califale, ne devait plus échapper aux Ottomans qu'entre 1623 et 1638. Elle est situé a moins de 85 kilomètres de l’ancienne Babylone 4. Bagdad a été prise par les Mongols en 1258; ils ravagent la ville et suppriment le califat. Sous les Abbassides, le centre de gravité de l'islam se déplace de la Syrie vers l'Irak où une nouvelle capitale est fondée en 762 : Bagdad. Ibn Aqil (mort en 1119), extrait des Manaqib Baghdad (« Les Vertus de Bagdad ») d'Ibn al-Jawzi, trad. En pujar al tron el califa al-Mustakfí, el 944, quedà reduït el seu govern a la ciutat de Bagdad. Les Abbassides gèrent un immense empire s'étendant de la péninsule Ibérique à l'Indus. Umayyad Dynasty Omeyyades dynastie General Information Informations générales. Le mot, qui signifie « cour fermée », est devenu, par référence aux complots qui se tramaient derrière ses murs, le symbole d'un cercle très fermé au sein duquel se prennent les grandes décisions. Bagdad avait atteint son plus grand développement au Xe siècle, quand la maîtrise du terroir irakien et l'aménagement de ses deux grands fleuves étaient à leur optimum. Celui d'Al-Karkh, au sud de la Ville ronde, abritait les marchés spécialisés parmi les plus fameux de la capitale ; le toponyme a d'ailleurs fini par désigner l'ensemble de la rive ouest et a subsisté jusqu'à nos jours. La ville, perdue puis reprise par les Safavides, fut le principal objectif de la « campagne des deux Iraks » (l'arabe et le persan), conduite en personne par le sultan Soliman le Magnifique, qui entra dans Bagdad à l'hiver 1534. Bagdad a été créée en 762, au moment de l'expansion musulmane, probablement sur un site déjà existant. Bagdad, une ville fondée à la commande du deuxième calife abbasside, al-Mansour (754-775) en 762. On thinglink.com, edit images, videos and 360 photos in one place. Quant au palais de l'Éternité (Al-Khuld), qui avait accueilli la cour de Harun al-Rachid au bord du Tigre, il laissa place deux siècles après sa construction à un prestigieux hôpital. « Les Mongols. Jean-Claude Garcin, p. 52). De 762, date de sa fondation par les Abbassides, à sa destruction brutale par les Mongols en 1258, Bagdad est sans doute la plus grande et la plus riche capitale du vieux monde, assurément une "ville lumière"", écrit Fernand Braudel, dans sa Grammaire des civilisations (1963). Toutefois, la chute des Omeyyades ne découle pas d'antagonismes raciaux… L'absence des califes et de leur garde turque ne freina nullement le développement de la ville, comme le suggère le tracé du mur levé, sur la rive ouest comme sur la rive est, lors des combats qui opposèrent en 865 le souverain réfugié à Bagdad à ses officiers de Samarra. Un âge d’or de l’Islam ». Le choix d’une nouvelle capitale marque également la volonté abbasside de se distinguer des Umayyades, qui étaient installés à Damas. Sous le gouvernement de Pir Budaq, de la confédération du Mouton Noir, Bagdad renoua pourtant de 1460 à 1466 avec une vie de cour raffinée, dont témoignent de superbes manuscrits enluminés. Redevenue capitale, Bagdad fut, au Xe siècle, l'une des plus grandes villes du monde. - De Harun Al Rachid (786-809) le célèbre Calife des Mille et une Nuits, sorte de Charlemagne orientale D'après le témoignage du voyageur chinois Ch'ang Te, qui tenait probablement ses informations d'une source mongole, plusieurs dizaines de milliers de Bagdadiens furent alors massacrés. (...). Une décennie plus tard, Al-Mansur lui-même édifiait un nouveau palais appelé Al-Khuld (« l'éternité », « le paradis ») à l'écart de la Ville ronde, en bordure du fleuve, où résidèrent plusieurs de ses successeurs parmi lesquels Harun al-Rachid (786-809) que Les Mille et Une Nuits devaient rendre si célèbre (cf. Tamerlan s'empare de la ville en 1410 et la ravage. Le monument édifié sur sa tombe devait rester jusqu'à nos jours l'un des rares points de repère de la topographie historique de la capitale irakienne. Les abbassides décident de fonder une nouvelle capitale pour remplacer l'ancienne capitale Omeyyade, Damas. Jusqu'au sac de 1258 par les Mongols et la disparition du califat abbasside, Bagdad est l'une des plus grandes villes du Moyen Âge. Bagdad ou Baghdad (en arabe : بغداد, baġdād) est la capitale de l’Irak et de la province de Bagdad.Elle est située au centre-Est du pays et est traversée par le Tigre.Ses habitants s'appellent les Bagdadiens. Il n'empêche : c'est bien de l'autre côté du fleuve, en face de son site primitif, que Bagdad devait connaître son plus grand développement. Redevenue capitale, Bagdad fut, au Xe siècle, l'une des plus grandes villes du monde. Avec ce qui fut sa dernière grande conquête, Soliman s'imposait dans la seule ville symbole de l'islam sunnite qui manquait encore à l'Empire ottoman, après Le Caire, Damas, Jérusalem, La Mecque et Médine, toutes soumises par son père Selim Ier deux décennies plus tôt. 1. La Grande Mosquée de Samarra (847-852), ou mosquée Abu Dulaf est une des plus importantes œuvres architecturales de l'Islam. C'est ainsi que Bagdad a peu à peu perdu la trace de son passé, fondu sous les assauts du fleuve, englouti sous les sédiments, ne laissant aux historiens d'autres ressources que les textes pour tenter d'en retracer le destin. C'est là que Jafar le Barmécide, le vizir de Harun al-Rachid exécuté sur son ordre en 803, avait édifié un palais. Rafiqa constituait un exemple vivant de ce qu'était le premier centre de Bagdad édifié par le même Calife Al Mansur dix ans plus tôt et aujourd'hui totalement disparu. ». Le retour définitif des califes à Bagdad en 892 vit en revanche la Cour se sédentariser dans un quartier au sud-est de la ville, en bordure du fleuve. Loin de connaître une existence paisible, cependant, Bagdad est longtemps restée exposée aux guerres devenues endémiques depuis que l'Irak avait cessé d'être le centre de l'empire pour devenir progressivement une frontière. Explore content created by others. Les Abbassides descendent d'Abbas, oncle du prophète Mahomet. L'incertitude est plus grande sur la rive ouest, où la ruine précoce de la Ville ronde d'Al-Mansur, dès le IXe siècle, a brouillé les repères. Privé du pouvoir de définir le dogme au milieu du IXe siècle, il est ensuite dépossédé de sa capacité de commandement politique et militaire à partir du milieu du Xe siècle. En effet, la lente assimilation de la propagande anti omeyyade dans les régions mécontentes du califat, la permanence d’une agitation chiite restée fidèle à Ali, les difficultés de successions ajoutées aux obstacles d’ordres politique et militaire des califes omeyyades de Damas, ainsi que l’émergence d’un mouvement clandestin révolutionnaire abbasside ayant pour bercea… Le palais se trouve dans le désert à environ 180 kilomètres ( 110 mi ) au sud de Bagdad. Au Xe siècle, des officiers qui se sont imposés à Bagdad prennent le titre d'émir des émirs, et s'emparent du pouvoir de commandement au détriment du calife. Les Turcs Ottomans prennent la ville en 1534. Les savants les plus réputés furent recrutés pour y enseigner le droit et ses sciences auxiliaires (grammaire, lecture et exégèse coraniques, transmission de la tradition prophétique), mais aussi pour y prêcher. Al-Mamun, le calife mécène Pour cela, il faut : Expliquer qui dirige la ville de Bagdad Réaliser un plan de la ville en faisant apparaitre les différents bâtiments Réaliser une courte fiche de présentation de chaque bâtiment agdad, capitale des Abbassides Le bon fonctionnement du réseau de canaux reliant l'Euphrate au Tigre, gage de la maîtrise et de l'optimisation de leurs crues respectives, et dont nombre de voies d'eau traversaient la ville elle-même, était cependant suspendu à la force et à la stabilité du pouvoir impérial. Elle raconte également comment la cité, qui fut, à son apogée au IXe-XIe siècle, l'une des plus grandes villes du monde médiéval, a progressivement perdu la trace de son prestigieux passé. La conquête mongole de 1258 avait certes intégré la ville pour près d'un siècle dans un nouvel ensemble territorial, l'Ilkhanat mongol qui s'étirait de l'actuel Afghanistan jusqu'au centre de l'Anatolie, arrimant durablement Bagdad au monde islamique de langue persane1. Pendant cinq siècles, la ville polycentrique s'étend sur les deux rives du Tigre, grandit au rythme des fondations de grands complexes palatiaux, jusqu'à l'arrivée des Mongols. « Il y a d'abord le grand espace nommé place du Pont. L'opposition de la minorité chiite, importante numériquement en M… L'éclipse du sultanat seldjoukide, à la fin du XIIe siècle, favorisa la restauration de l'autorité du calife, ultime épanouissement du pouvoir abbasside, certes limité à Bagdad et au terroir utile de l'Irak, mais qui légua à la capitale irakienne le patrimoine le plus ancien qu'elle ait conservé. Le fondateur de la dynastie, Abû al-Abbâs As-Saffah, est un descendant d'un oncle de Mahomet, Al-Abbas ibn Abd al-Muttalib. La mission se poursuit par une prospection pédestre visant à récupérer les tessons (morceaux) de céramique présent en surface. A Bagdad, la madrasa Nizamiyya est fondée par le vizir seljoukide Nizam al-Mulk en 1067. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Abbassides&oldid=174965889, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Religions et croyances/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Porté à l'origine par un seul titulaire pour tout l'empire, le titre est revendiqué dès le XIIe siècle par des chefs de guerre à la souveraineté régionale. l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés. Tutela buwàyhida. Les Abbassides ont renversé la dynastie des Omeyyades en 750 de notre ère, soutenant les mawali, ou musulmans non arabes, en déplaçant la capitale à Bagdad en 762. Le premier quartier de la rive est prit par la suite le nom de Rusafa (« la solidité ») que Harun al-Rachid donna à un palais qu'il y édifia à son tour. L'urbanisation de la rive est avait commencé du vivant même d'Al-Mansur. It was founded by a dynasty descended from Muhammad's uncle, Abbas ibn Abdul-Muttalib (566–653 CE), from whom the dynasty takes its name. Les Abbassides sont les descendants de Abbas, l'un des oncles du prophète Mahomet. Les Abbassides sont une dynastie arabe musulmane qui régna sur le califat abbasside de 750, lorsqu'ils succèdent aux Omeyyades, jusqu'à la chute de Bagdad en 1258. La prise de Bagdad par les armées mongoles de Hülegü (le petit-fils de Gengis Khan) en février 1258 marqua la fin d'une époque dans l'histoire de la ville. Ce terme d'origine persane (saray) désigne le palais du gouverneur construit au début du XVIIe siècle où se succédèrent les pachas (gouverneurs) nommés par la Sublime Porte, le sultan ottoman, jusqu'à la Première Guerre mondiale. Puis il y a le marché des libraires, immense, qui est aussi le lieu de rassemblement des savants et des poètes, puis le marché de Rusafa. Il a un plan dérivé des anciens palais sassanides et omeyyades. Le chaos qui succéda à l'effondrement de l'ilkhanat en 1335 atteignit son paroxysme à la fin du siècle, sous la main de fer de Timur Leng (Tamerlan), le grand conquérant d'Asie centrale. Pendant cinq siècles, la ville polycentrique s'étend sur les deux rives du Tigre, grandit au rythme des fondations de grands complexes palatiaux, jusqu'à l'arrivée des Mongols. Le dernier calife abbasside de Bagdad, Al-Mustasim, fut exécuté, ainsi que la plupart des membres de la famille ; le califat devait cependant être restauré quatre ans plus tard au Caire par un rescapé. Les chiites, et principalement ceux de la Perse, contribuent largement, sous la direction d'Abu Muslim, au succès des Abbassides. Puis le marché des Oiseaux, un marché où on peut trouver toutes les sortes de fleurs et sur les côtés duquel se trouvent les boutiques élégantes des changeurs. Au fil de la construction de nouveaux pavillons et belvédères (plus d'une vingtaine), se forma dans ce quartier la Dar al-Khilafa ou « demeure du Califat », le complexe palatial où s'enfermèrent désormais les califes abbassides, à l'abri d'un rempart édifié au sein même de la ville, littéralement retranchés de la vie urbaine comme le suggère l'appellation de harim (l'espace réservé) également donnée au quartier. Bagdad fut soumis à deux reprises par ses troupes ; la seconde fois, en 1401, Tamerlan y ordonna le « massacre général » (qatl i-'amm), n'épargnant que les hommes de religion, ruinant la ville bien davantage que ne l'avait fait son prédécesseur Hülegü en 1258. Il conserve son autorité légale et religieuse, qui fait de lui la source de toute légitimité en islam sunnite, jusqu'à la conquête du Caire par les Ottomans et l'exil du dernier calife abbasside à Istanbul en 1517. The Arabic narrative sources record a host of tales related to the founding of Baghdad and to its founder, the caliph al-Manṣūr. Fondée par le calife Al-Mansur en 762, Bagdad est la capitale du califat abbasside durant presque cinq siècles. En effet, la politique de ces derniers avait assuré la domination arabe sur les territoires conquis à partir du VIIe siècle et s’étendant … de G. Makdisi, « The Topography of Eleventh-Century Bagdad: Materials and Notes », Arabica 6 (1959), pp. Bagdad, capitale de l'Irak actuel, est l'une des plus grandes villes du monde islamique.
Revue Technique Renault 5 Pdf, Demain Nous Appartient épisode 1, Solal Le Magnifique, Ressource En Santé Mentale, Renault 20 Turbo Diesel, Style Art Déco, L'espionne De Tanger Saison 1 Streaming, Sac D'os Serie Amazon, Maïna Grézanlé Père,
Sorry, the comment form is closed at this time.